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Le musée national de la Marine de Paris

est à la fois musée d’art et d’histoire, de sciences et de techniques, d’aventures humaines et de traditions populaires, un centre de culture maritime ouvert au plus large public. Il a vocation d’être la vitrine et le conservatoire patrimonial de toutes les marines. ​Le musée national de la Marine est installé à Paris dans l'aile Passy du Palais de Chaillot.

Le Véloce, aviso à roues (1838-1860)

Le musée national de la Marine de Paris

est à la fois musée d’art et d’histoire, de sciences et de techniques, d’aventures humaines et de traditions populaires, un centre de culture maritime ouvert au plus large public. Il a vocation d’être la vitrine et le conservatoire patrimonial de toutes les marines. ​Le musée national de la Marine est installé à Paris dans l'aile Passy du Palais de Chaillot.

Le Véloce

construit à Rochefort en 1836-1837,

est un vapeur de la marine militaire qui fut l'une des premières corvettes à roues.

Il est lancé le 12 mars 1838 et fera, dès l'année suivante un voyage jusqu'aux Etats-Unis.

En 1840, il part pour la méditerranée puis remonte sur Brest. Mais, en 1841, il s'échoue sur la jetée de Calais.

Remis en service, il participera en 1844 au bombardement de Tanger.

Le 20 novembre 1846, Alexandre Dumas (père), célèbre auteur français (Les Trois Mousquetaires, Le Comte de Monte-Cristo, La Reine Margot, La Dame de Monsoreau, Joseph Balsamo...), embarque à son bord pour un voyage organisé par le ministère de l'Instruction publique.

Il écrira ses impressions sur ce voyage dans "Le Véloce ou Tanger, Alger, Tunis".

Référence

Le Véloce, aviso à roues (1838-1860)

 

Jean-Baptiste Hubert,

né le à Chauny - Aisne, de Jean Baptiste Hubert, éclusier, receveur du canal, et de Marie Catherine Guette, décédé le à Rochefort,

est un architecte naval et un ingénieur de la Marine.

Formé à Polytechnique, où il entre le 20 décembre 1797 à 16 ans et demi, il est envoyé à Brest en 1799 où il restera jusqu'en 1804.

Il arrive à l'arsenal de Rochefort en 1805 comme sous-ingénieur de première classe.

En 1812, il est détaché à Bordeaux. 

En 1814, il est renvoyé à Rochefort où il termine sa carrière d'ingénieur maritime comme directeur des constructions navales.

Il réalisa entre autres diverses machines utiles à la fabrication des cordes pour la Corderie royale de Rochefort, des moulins à vent spécialisés et une quinzaine de navires.

Il est également à l'origine de la modernisation de l'arsenal de Rochefort.

Tag(s) : #Musée de la Marine
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