Nul ne peut atteindre
l'aube
sans passer par le chemin de la nuit
Gibran Khalil Gibran
Selon la tradition levantine, son nom comprend successivement son prénom (Gibran), le prénom de son père (Khalil), et son nom de famille (Gibran).
Khalil Gibran (6 janvier 1883, Bcharré, Liban — 10 avril 1931, New York, Etats-Unis) est un poète et peintre libanais.
Publié en 1923 et composé de vingt-six textes poétiques, son recueil Le Prophète est devenu particulièrement populaire pendant les années 1960 dans le courant de la contre-culture et les mouvements New Age.
Fidèle aux souvenirs et aux légendes transmis par sa mère, Gibran est toujours resté attaché à l’Orient.
La beauté, les couleurs et les austérités de la terre du Liban imprimèrent dans le cœur de Gibran un amour profond pour la nature qui ne se démentit jamais. Pour lui, éternel amoureux des arbres, ces poèmes que la terre écrit sur le ciel, la destinée humaine est irrévocablement liée à celle du cosmos.
La loi veut que nous vivions l’un par l’autre, écrivait-il.
Il considérait le monde naturel comme un être vivant : Si vous chantez la beauté alors que vous êtes seul dans le désert, vous aurez un auditoire. Le monde naturel est ce à quoi nous devons toujours nous relier.
Plus profondément le chagrin creusera votre être, plus vous pourrez contenir de joie.
Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez vos biens. C'est lorsque vous donnez de vous-mêmes que vous donnez réellement.
Extraits de Le Prophète
Gibran Khalil Gibran
Selon la tradition levantine, son nom comprend successivement son prénom (Gibran), le prénom de son père (Khalil), et son nom de famille (Gibran).
Khalil Gibran (6 janvier 1883, Bcharré, Liban — 10 avril 1931, New York, Etats-Unis) est un poète et peintre libanais.
Publié en 1923 et composé de vingt-six textes poétiques, son recueil Le Prophète est devenu particulièrement populaire pendant les années 1960 dans le courant de la contre-culture et les mouvements New Age.
Fidèle aux souvenirs et aux légendes transmis par sa mère, Gibran est toujours resté attaché à l’Orient.
La beauté, les couleurs et les austérités de la terre du Liban imprimèrent dans le cœur de Gibran un amour profond pour la nature qui ne se démentit jamais. Pour lui, éternel amoureux des arbres, ces poèmes que la terre écrit sur le ciel, la destinée humaine est irrévocablement liée à celle du cosmos.
La loi veut que nous vivions l’un par l’autre, écrivait-il.
Il considérait le monde naturel comme un être vivant : Si vous chantez la beauté alors que vous êtes seul dans le désert, vous aurez un auditoire. Le monde naturel est ce à quoi nous devons toujours nous relier.
Plus profondément le chagrin creusera votre être, plus vous pourrez contenir de joie.
Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez vos biens. C'est lorsque vous donnez de vous-mêmes que vous donnez réellement.
Extraits de Le Prophète